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Oxygénation des océans

Démarré par Lorequest, 09/05/2008 - 17:32:26

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source : http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/oceanographie-1/d/les-omz-zones-de-minimum-doxygene-sagrandissent-dans-locean-mondial_15476/


globalement, l'activité biologique est ralenti par le manque d'oxygène, dont la concentration dans l'eau diminue avec la température.

Or il me semble que la surface Dans Polaris est une vrai fournaise.

Par conséquent, le développement de la vie est diminué dans les eaux proches de la surface.

Or, c'est dans ces eaux que se trouve les plus grandes population de plancton, qui ont besoin de lumière. ce qui signifie que dans Polaris, les eaux sont globalement moins riche en plancton que pour notre planète : il y a donc moins de nourriture pour les poissons, coquillages, et aussi moins d'oxygène.
Et donc en théorie moins de grosses bestioles.

Paradoxalement, les culture d'algues, avec lumières artificielles, doivent dégager pas mal d'O2, en plus de fournir de la nourriture aux poissons herbivores. Les alentours de stations humaines sont docn certainement de véritables oasis d'abondance... attirant toute la faune marine, y compris les plsu grandes et les plus dangereuses. Ne vous étonnez pas que les leviathans et consorts foncent droit sur les stations...

le plancton a muté et hop ! le tour est joué
So much violence, so few bullets

du plancton anaérobie ? Cela existe déjà, dans les profondeurs :

CitationLe plancton végétal, ou phytoplancton (du grec φυτόν / phutón ou « plante »), se construit à partir d'éléments minéraux. Hormis pour le nanoplancton et le picoplancton, il est essentiellement présent dans les couches superficielles de la mer (de 0 à 15 mètres de profondeur), où il accomplit sa photosynthèse. C'est-à-dire qu'il absorbe des sels minéraux et du dioxyde de carbone pour rejeter de l'oxygène sous l'effet de la lumière.

Le plancton animal, ou zooplancton (du grec ζῷον / zõio ou « animal »), se nourrit de matière vivante, certains espèces étant herbivores et d'autres carnivores. Il remonte la nuit vers la surface pour se nourrir de phytoplancton et redescend pendant la journée vers les eaux plus profondes. Il échappe ainsi aux prédateurs et économise de l'énergie car la température est moins élevée. Ce mouvement du zooplancton, qui contribue au brassage des eaux et des couches de températures variées ou diversement oxygénées est appelé migration verticale quotidienne ou nycthémérale — un nycthémère, du grec νυκτ- / nukt-, nuit, et ἡμέρα / hêméra, jour, désigne une durée de 24 heures. Certains prédateurs du plancton suivent ces mouvements. Sur certains littoraux, et berges urbanisées, il est possible que certaines espèces de zooplancton puissent être affectées par la pollution lumineuse.

Le nanoplancton (20-2 µm) et le picoplancton (2-0,2 µm), et femtoplancton, ou le virioplancton (virus marins essentiellement) découverts plus récemment, constituent une part encore mal connue de la biodiversité marine. Ces catégories de taille incluent de nombreuses espèces qui semblent pouvoir vivre à grande profondeur où l'intensité lumineuse est extrêmement faible. Certaines de ces espèces semblent avoir des rythmes de reproduction très lents ainsi qu'une durée de vie exceptionnellement longue (caractéristique qu'on retrouve aussi chez des organismes plus complexes des grandes profondeurs, dont certains poissons des grands fonds

Mais ce plancton anaérobie se développe lentement, et est trop peu concentré pour nourrir une faune abondante.

Dont l'importance du phytoplancton dans l'écosystème, et qui est perturbé par la chaleur.