source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/CorailUne augmentation de la température des mers de 6°C tuerait à coup sur ces coraux de "surface".
http://www.bibliotheque.refer.org/livre50/l5003.pdfDans Polaris :
11 mai 567, Ampithéâtre de l'unité de biologie marine de la ville de Ka, Union méditterannéene.
"Bonjour messieurs. je vous remercie tous d'être venus à cette conférence sur le corail, sous élgide de l'OESM.
je remercie en particulier messieurs Wahjed, biologiste de l'état du rift, et Haeckel de nouvelle-Lémurie.
Pour diverses raisons, nous devons déplorer l'absence des scientifiques coralliens qui devaient se joindre à nous.
Le mot corail est très ambigu car il désigne des organismes marins coloniaux appartenant tous à l'embranchement des Coelentérés et à la classe des Anthozoaires mais à des familles très différentes dont les exigences écologiques sont, de ce fait, très dissemblables. Ces organismes présentent ainsi une biodiversité remarquable. Je vais me permettre de vous en faire un bref panorama:
- Le corail rouge est un animal colonial Octocoralliaire, voisin des gorgones appartenant au genre Corallium (espèce rubrum). Ce corail a, le plus généralement, un exosquelette rouge vif mais celui-ci peut aussi être décoloré et devenir rose ou même blanc. Cette espèce n'aime pas la lumière et on la trouve soit dans des grottes sous-marines, soit à une certaine profondeur (jusqu'à plus de 100 m parfois). Sa symbiose repose non sur des algues mais sur du placton non photosynthétique. sa distribution est importante dans le monde : en particulier dans les eaux méditerranéennes et, notamment, celles du bassin occidental, puis un peu partout dans le monde, à concnetration décroissante. Il a été prouvé que ces organismes avait un impact dynamique positif sur la faune marine. les zones ainsi peuplés sont ainsi propice à la pêche et à l'aquaculture.
- Le corail noir Anthipathes (genre comportant de nombreuses espèces dont l'espèce subpinnata) appartient au groupe des Hexacoralliaires Antipathaires et est une espèce nettement plus thermophile que Corallium rubrum. On le trouve plus proche de la surface. Des recherches paléobiologiques récentes ont démontré que le corail a réalisé une adaptation physique particulière à ces conditions nouvelles, les exosquellettes calcaires s'épaissifiant pour résister aux rayonnements et aux radiations diffusés par la surface.
Reste maintenant l'essentiel de ce que l'on appelle abusivement corail et qui, en fait, sont des animaux coloniaux Madréporaires. De forme et de taille multiples, ils furent très largement répandus dans les eaux côtières tropicales où ils formaient des trottoirs (cas de la mer Rouge), des atolls (cas des îles polynésiennes) ou des barrières (cas de l'Australie). Ces colonies, le plus souvent, sont inféodées à des eaux très éclairées (algues symbiotiques appelées zooxanthelles ). Ces animaux aiment les eaux chaudes mais supportent mal une trop forte température et, surtout, présentaient une forte sensibilité à la pollution qui entraînent leur mort rapide, que l'on désigne sous le terme de blanchissement. On estime que ce blanchissement a éradiqué plus de 90% de cette famille de coraux.
Ces derniers éléments furent découverts fortuitement par des expéditions méditerrannées dans les ruines d'une cité européenne, dont les activités semblaient tourner vers la mer; peut-être est de là qu'est parti notre grand emigration vers les eaux ? Aux archéalogues de le dire.
le corail blanc, enfin, est celui qui nous intéresse le plus : grâce à cet éclairage, nous pouvons formuler des hypothèses tout à fait étonnante quant aux corail blanc, que nous trouvons aujourdhui pricnipalement autour de l'ancienne Australie : Il apparaît clairement que la population initiale fut au bord de l'extinction, et que cette famille présente aujourd'hui dès qualités très différentes des autres, à savoir :
un couleur blanche uniforme
Un biologie photosynthétique
L'émission d'un champ magnétique
Le plus étonnant est qu'il ne s'agit plus d'un organisme symbiotique : contrairement à ce que les premières recherches présumaient, on en trouve plus deux espèces mais une seule, les différents types cellulaires observés résultants d'un processus de différenciation. Ainsi, les cellules de ce corail n'appartiennent plus au monde animal, car elles sont capables de photosynthèse. Au cours du développement, les tissus inférieurs, masqué par les nouveaux, se différencient en tissus de soutien et se calcifient.
Les capacités d'émission d'un champ magnétique chez ce corail n'est la propriété la moins étonnantes, d'autant qu'aucun organe spécifique n'a encore été découvert... mais les recherches de Monsieur Wahjed ici présent, indiqueraient que le siège de ces émissions seraient des cellules interstitielles différenciées. Elles sont d'autant plus difficiles à déceler qu'elles sont mobiles, un peu comme nos globules blancs ! La principale particularité est qu'elles sont capables de détourner l'énergie bioélectrique des cellules photsynthétiques pour produire ce champ magnétique. cette capacité leur provient d'organite, que nous appellerons organométalloplastes : en effet, il s'agit de plastes contenant des solutions très riche en métaux lourds.
En conjonction avec les travaux d'haekel, le docteur Lidberg, malheureusement décédé, a pu mettre en évidence que le champ magnétique dépendait de la concentration de ces cellules dans les tissus externes, c'est à dire en se concentrant dans les parois externes des coraux. Lorsque cette concnetration atteitn un seuil critique, il se produit même des déflagrations magnétiques !
je vous invite, mes chers confrères, à procéder avec la plus grande prudence lors de telles expérimentations. Le proffesseur Lidberg a payé sa découverte de tout son matériel électronique !
Je concluerais cette introduction pen vous disant que ce corail blanc recèle encore, à n'en pas douter, de nombreuses surprises... d'autant que sa complexité laisserait supposer qu'une telle évolution, ausis radicale, ne serait pas du au hasard de l'évolution naturelle, mais que l'origine de cet organisme pourrait être artificielle...
Je vais revenir plus en détail sur ces processus biologique au cours de cette conférence.