Alors, je le répète, cessez de juger quelque chose dont vous ignorez la réalité.
Je ne juge pas, je te pose mon opinion.
Les changements (ici la méthode de vente) ont toujours du mal a se mettre en place. Ça n'a rien a voir avec la littérature ou le Jdr. C'est un fait, un constat que ça soit de la vente d'un tracteur, a la modification d'un planning de boulot pour une équipe. Quand il y a changement des habitudes c'est toujours compliqué, certains s'adaptent d'autres s'opposent.
Il a toujours un problème de stockage, et d'avance les frais pour une boutique qu'elle vende la aussi du jdr ou des haricots. Mais ça reste un problème qui a aussi son lot de solutions.
Bbe trouvera sûrement une offre plus alléchante pour les boutiques a l'avenir et peut être que l'offre actuelle n'est pas compétitive. Il y a d'autres choses a prendre en compte autres que le coût du livre comme le dit Darius. Peut être une forme d'exclu momentané (15jours d'avance) pour les boutiques, ou je ne sais quoi d'autre.
Mais la ou je rejoins Jeanlain c'est qu'à chaque changement, ceux qui ne s'adaptent pas meurt, si l'offre correspond aux attentes.
Actuellement je pense que le crowdfunding est une offre qui correspond a l'attente d'un consommateur de jdr (PN plus de 60k, Polaris arrivant a 30k), pratiquement 100k dans les caisses en un mois.
Donc si les boutiques ne suivent pas le mouvement de l'éditeur ou que l'éditeur ne propose pas une offres assez intéressantes aux boutiques, il y aura effectivement une perte (de gain pour l'éditeur, de marché pour la boutique).
Moi je ne viens pas dire les boutiques ne suivent pas, elles sont stupides. Je dis qu'à mon avis si les boutiques ne trouvent pas un terrain d'entente sous forme d'offres compétitives avec les éditeurs, elles pourront grogner dans leur coin, elles perdront ce marché (jdr) et les gains qui y sont liés. Maintenenant si les éditeurs ne font pas d'efforts vis a vis des boutiques, ils perdront aussi pas mal d'argents en diminuant leurs communications, leurs points de distributions car les boutiques auront toujours pignons sur rue, a la différence des éditeurs.
Bref trouvé des accords entre vous.