le problème de la pression est particulier. Comem l'a dit Valdae la presque totalité des stations sont maintenues à la pression atmosphérique car :
1 : ils peuvent se le permettre et ils ont la technologie pour
2: s'adapter à une pression différente à chaque fois qu'on change de profondeur n''est pas viable quand toute la société vit sous l''eau.
Par contre, puisque cela peut être un élément scénaristique très intéressant, on peut imaginer que certaines stations, assez rares, n'ont pas cette pression constante pour x raison : expériences, manque de moyen, problème de structure, etc...
Mais par défaut, toutes les stations, armures et véhicules ont la même pression.
Extrait du backgrounbd V3 :
"Note importante : 99% des stations sous-marines sont situées à une profondeur maximale de 4000 m. Et la très grande majorité de ces stations n’excèdent pas une profondeur de 1000 mètres.
Les villes, stations et bases sous-marines sont très variées par leur taille et leur conception mais elles font toutes partie d’une des catégories suivantes :
Installations fluctuantes : une structure fluctuante n’est pas fixée à une paroi ou au sol océanique. Ce sont des constructions qui flottent entre deux eaux, capables généralement de faire varier leur profondeur. Les villes fluctuantes, comme Équinoxe, sont très rares. Leur conception est très complexe et surtout leur coût est véritablement prohibitif. Les structures fluctuantes les plus fréquentes sont les bases militaires, les stations de communication et les usines d’exploitations abyssales.
Les villes-parois : de nombreuses villes et installations sont bâties dans les parois sous-marines. Ces installations sont donc souterraines, avec des accès sur le milieu marin. Elles sont plus sûres et stables que les autres mais sont fréquemment la proie des Foreurs.
Les cités aquatiques : ce sont des villes édifiées sur le fond des mers comme de véritables cités de surface. Elles peuvent être constituées de bâtiments étanches ou, comme Azuria, de pitons rocheux creusés et équipés par l’homme. Ces installations sont très rares.
Les complexes : ce sont les installations les plus répandues au fond des mers. Vastes réseaux de structures métalliques, elles s’étendent sur de grandes superficies, illuminant la mer de leurs lumières bleues. Elles sont construites comme des bases ou des stations classiques.
Dômes : les complexes ou les cités aquatiques peuvent être recouverts de dômes constitués d’un matériau très résistant. C’est assez fréquent pour les complexes sous-marins mais très rare pour les cités. Keryss, capitale de l’Hégémonie, est le plus célèbre exemple de cité sous dôme. Les dômes sont généralement faits de plastitane, d’Alon (céramique transparente), d’Alon moléculaire ou d’hyper-Alon, et sont souvent équipés de volets de protection en acier moléculaire, qui se referment en cas de danger.
La plupart des stations sous-marines sont conçues avec des dispositifs antisismiques. On distingue deux grandes catégories de complexes sous-marins. Ceux qui sont installés à moins de 500 mètres et ceux qui le sont au-delà de 500 mètres.
Stations de surface : de nombreuses stations situées à une profondeur inférieure à 500 mètres ne sont pas pressurisées. Leur structure est très légère car elles n’ont pas à résister à la pression mais juste aux courants et à d’éventuels séismes. On peut accéder à l’eau par des systèmes de piscines qui évitent d’avoir recours à des sas. Les habitants n’ont pas besoin de lourdes armures mais juste d’un équipement de plongée standard. Ces stations offrent plus d’espace et sont moins cloisonnées car moins vulnérables à la pression.
Stations abyssales : ces stations sont pressurisées (pression équivalente aux stations situées à 500 mètres). Elles ont donc une structure très lourde pour résister à la pression et coûtent très cher. Elles n’ont aucun accès direct à l’eau et utilisent donc des sas. Elles sont très cloisonnées pour éviter des fuites catastrophiques. L’espace y est un luxe.
De nombreuses communautés installent les modules de vie de la population à une profondeur inférieure à cinq cents mètres et les complexes de production à une profondeur plus importante.
Notes : la plupart des modules des stations d’aujourd’hui ont été construits à l’époque des Généticiens en utilisant une technologie qui disparaît peu à peu. De plus, les stocks de modules commencent à s’épuiser. On construit donc de nouveaux modules en utilisant des matériaux moins performants mais beaucoup plus accessibles et moins chers. Cela implique que l’on s’installe le plus près possible de la surface et qu’on délaisse de plus en plus les profondeurs supérieures à 10 000 mètres.
Dans certaines régions isolées, des communautés produisent des structure bétonnées avec une coque en acier ou en titane. Ces modules s’avèrent très résistants et très bon marché."