Bonjour tout le monde.
Bon nouveau venue dans la communauté, il s’agit là de ma première intervention sur le forum. En ce moment même je n’ai toujours pas finie de lire le livre ni n’ai masterisé de partie.
Voilà, maintenant que le point est fait sur ma maîtrise du sujet, j’aimerai apporter ma contribution au sujet ( et non au débat sous jacent), ma recette maison pour gérer l’acquisition de gros matériel. Cette solution n’est absolument pas testée mais je gage que vous saurez rapidement en relever les faiblesses.
Tout d’abord soyons d’accord sur le fait que les prix mentionnés dans le ldb sont des prix indicatifs pour du matériel neuf…Et que donc en l’état, absolue inabordable pour le commun des mortels (voir même des demi-dieux J ). Ce n’est pas vraiment un problème car comme le cite le ldb (désolé je n’ai pas la page et encore moins l’alinéa), seul les nations peuvent espérer à obtenir du matériel neuf.
Donc déjà inutile de se demander si des joueurs peuvent obtenir du neuf sur ce type de matos. La réponse est clairement non, circonstances de parties mises de côté.
Donc s’ils n’ont pas accès à du matériel neuf, les caractéristiques fournies sont à revoir.
Après quelques modifications visant à baisser la qualité du matériel et quelques vices cachés (faut bien trouver de quoi s’amuser derrière son écran), il faut passer à la réévaluation du prix.
Si vous avez ôtez un réacteur à fusion d’un soum par exemple l’impact sera énorme. Il suffit d’imaginer ce que pourrait obtenir un contrebandier d’un réacteur à fusion fonctionnel sur le marché.
Enfin bref vous voilà non pas avec une épave mais un appareil honorable. Après tout il faut relativiser avec l’ambiance. Le prix en a forcément prit un coup. A vous de voir selon les modifs effectuées.
De plus on peut dire que le perso a un navire bien custom et qu’il est unique (certes de par ses dysfonctionnement), que demande le peuple.
On en arrive au financement, car même ainsi il va falloir débourser.
Comme le dit Ralph, les 1 à 5% sont une réduction du prix à payer, ou plutôt, une estimation de ce qui a déjà était déboursé. La somme des ces réductions est à impacter sur le prix réviser de l’appareil. Le résultat nous donne ce que le personnage a encore à charge quand la partie commence.
Comment déterminer ce pourcentage annuel :
Ah, une question difficile. En fait j’aime l’idée que pour le contrebandier, le montant de la réduction sur le soum est égal à la valeur du d6 déterminant ses revenus. Un 5 ou un 6 valant 5%.
Pour le passage au d100 après 6 ans de carrière, il suffit de fonctionner par pallier de 20.
Exemple : 34 * 100 = 3400 sols et 2% de remise sur son véhicule. Le fait qu’il fasse plus d’économie sans pour autant diminuer plus grandement sa dette peut s’expliquer par le fait qu’il s’agit de fonds immobilisé servant au fonctionnement de son commerce. Quand la partie commence rien ne l’empêche de liquider une partie ou l’intégralité de ces fonds pour réduire encore le reste à payer.
Cette remise sur le prix du véhicule peut s’expliquer par les à-côtés effectuer avec le matériel. Pour un contrebandier, imaginons qu’il s’agisse comme pour les compagnies aériennes d’éviter les déplacements non optimisés. Ainsi un contrebandier pourra embarquer des passagers en plus de sa cargaison illicite d’armes. Les passagers pouvant lui fournir une couverture supplémentaire.
On a aussi l’avantage d’expliquer pourquoi en cas de changement de carrière, la somme restant à payer ne varie pas. Si un contrebandier se recycle comme barman, ce n’est pas en gardant son soum au garage que ce dernier lui rapportera et il devra faire face à d’autre sources de dépense.
Il n’est pas étrange d’attendre un retour sur investissement quand on parle de gros matériel.
Pour les autres professions le fonctionnement peut varier grandement :
De l’épave de guerre pour le pirate qui ne pourra commençait à naviguer qu’au bout de 4 années (incluse dans la création) de piraterie, au rebus d’une station, bricolé lentement au fond d’un garage avec d’autre rebus et trouvailles par l’éleveur passionné et ses potes. Pour ces professions peut être l’idée sus cité plus haut d’une réduction = au point investit dans matériel me semble la plus intéressante. Le choix devrait être laissé au joueur.
J’applique également la possibilité d’un partenariat entre les joueurs qui pourrait bénéficier d’acquisition de gros matériel, de cumulé leur remise.
Polaris est un jdr profondément sociale, et ce mécanisme s’inscrit à mon sens dans la logique du jeu. Si ainsi, la remise devait dépasser le prix initial (déjà assez étonnant), l’excédant /2 serait calculé afin d’avoir une estimation en sols des upgrades que le groupe aurait pu commencé a effectuer.
Après tout faut pas déconner non plus et donner l’impression aux joueurs qu’il passeront le restant de leur plongées dans une boîte à sardine tout juste flottante.
Voilà. Merci de vos réactions et commentaires.
PS: Désolé pour les innombrables fautes d'orthographes, de grammaires et de syntaxes. Le français s'est ma cryptonite.