Ce fil relève une interrogation qui me vint à l'époque où je maitrisais Polaris.
Au sujet des mutations, le système est ainsi fait qu'hormis celles qui sont visibles, les autres -beaucoup en fait- ne prêtent pas trop à conséquence sur la perception qu'en a le joueur. Bah, je suis mutant mais ma mutation n'est pas trop visible...donc c'est pas grave". Sauf qu'in fine, il n'est pas (plus) humain...
J'en est donc déduit qu'outre la batterie de tests que subissent des étrangers dans les zones de transit portuaires, une sorte d'analyse était effectuée afin de connaitre un hypothétique Seuil de DG, qui serait désormais indiqué sur l'ID de chaque individu, afin d'optimiser les contrôles dans certaines grosses communautés. Dans le même ordre d'idée, en affectant un un indice à chaque mutations, le personnage mutant les accumuleraient, ce qui feraient augmenter son SDG.
De là, il est possible de définir plus finement la politique d'un état voir d'une mico-station face au phénmène en question.
En fait, j'ai retrouvé ce principe dans un jeu de rôle, Amnesya (7th Cercle ?) où l'habitude de cotoyer les mutants a conduit les autorités en place à déterminer des sortes de stades d'humanité, avec effectivement des droits partiellements voir totalement réduits pour les mutants les plus lourds.
Quoi vous pensez de cela ? Sa peut exister dans Polaris (l'univers du jeu, s'entend) ?