Message également envoyé dans : Discussions scientifiques / Re : L'air des stations le:
Permettez que je me cite. En fait tout le problème n'est pas seulement l'air mais aussi les techniques de construction des stations, ou comment concevoir des station avec la nouvelle édition du jeu. Oui souvenez vous lors de la première édition, le petit supplément qui allait avec l'écran permettait d'assembler des modules ... quand est-il aujourd"hui ? Voilà un sujet qui me fait penser à mon coté hydroculteur !
Je reprends la partie ou vous parlez du recyclage de l'air (ou comment le décharger en CO2 pour le recherger en O2). Sans parler du problème de proportion d'azote ...
Actuellement, nos chers Maraîchers et les station d'épuration utilisent les bactéries ! Je détaille :
Pour la production végétale il est interressant d'accélérer la vitesse de croissance pour pouvoir produire des aliments en grande quantité et rapidement ... Et bien à l'heure actuelle, on injecte du CO2 dans les serres pour accélérer le développement des salades (par exemple) qui passe de l'état de jeune pousse à celui de jeune plant en 2 JOURS ! au lieu de plusieurs semaine.
Hors si il est certain que cette méthode n'est pas suffisante pour recycler l'air d'une station, sachez aussi que l'on injecte du CO2 dans le composte pour accélérer le processus de décomposition de certaines bactéries (anaérobies) sur la matière organique. Ce procédé peut être réalisé dans le sol, mais il marche tout aussi bien dans les systèmes de nettoyage des eaux usées.
C'est là que je retrouve ma station d'épuration. A Orléans, l'agglomération a fait construite un station d'épuration suffisante pour retraiter les rejets équivalents à 400 000 hab. Des bactéries fixes les particules de pollution en suspension dans des bassins (brassés continuellement) pour former une boue. Le résultat, passé à la chaux pour le stabilisé, devient l'un des supports pour la réalisation des composts et remplace petit à petit les engrais de nos agriculteurs (si si ).
L'eau rejetée en Loire (classée patrimoine de l'UNESCO) est d'ailleurs plus "propre" que celle si trouvant déjà (moins polluée ?!) .
Imaginons alors que des centrales de retraitement des déchets organiques. Le CO2 extrait des espaces d'habitation (au raz du sol) pourrait être injecté dans le retraitement des eaux usées, les boues obtenues pourraient servir à la constitution de substrats de cultures.
Rechargés en CO2, ces substrats libèrerait lentement le gaz pour les plantes cultivées qui l'absorberait pour réaliser le cycle de la photosynthèse ... Seule condition à ce système il faut continuellement disposer un éclairage (longueur d'onde rouge ou aapprochant) pour s'assurer que la photosynthèse recycle l'air et l'oxygène en quantité suffisantes. D'où un besoin contitnuel d'énergie pour alimenter les générateurs de lumière.
La méthode peut s'appliquer autant en milieu sec que humide. De plus, il s'applique à l'azote de l'air, car celui ci est partiellement consommé par les bactéries assurant le recyclage des matières organiques et extrait avec le CO2 des zones d'habitations, se retrouve sou forme organique puis amoniacale dans le composte.
A ce momment d'autres bactéries vont le minéraliser pour le rendre accessible aux plantes (nutrition racinaire). Celui ci va permettre la croissance de nouveaux organes de photosynthèse tandis que le carbone participe à la constitution et au renouvellement de cellules diverses.
Bon d'accord passé ce cours de Bio végétale, vous pourriez vous demander quel est l'intérèt de toute cette élucubration ...
Pour les petites communautés hydrocultrice, le recyclage de l'air et la fertilisation des culture devient simple = seul leur manque une soucre d'énergie constante pour produire la lumière.
Pour les mineurs, produisant ou exploitant de l'énergie, le filon de revente est tout trouvé. Mais ils sont dépendant de l'air ! = besoin de recevoir de quoi renouveler l'air des complexes miniers.
Pour les cités le problème est tout autre = surpopulation ! ils ne peuvent maintenir un équilibre qu'en disposant de communauté ouvrières cité ci dessus à proximité. Une sorte de banlieue €...
Je ne vais tout de même pas refaire le tour de la société dans Polaris ! Mais on peut rester dubitatif sur la survie des petites communautés ayant du mal à disposer de zones d'hydroculture et de filon / ressouces énergétique .
Je me demandais si des Aquariums/bassins chargés en CO2 et surexposés à la lumière pour cultiuver du phytoplancton, ne pourrait pas aider au recyclage de l'airles déchets de ces aquariums pourraient être composter et participer au cycle de l'azote ...
Pour de petites communautés ce pourait être un bon complément et l'éclairage de ces aquariums pourrait servir à celui des habitation (colones lumineuses).
Enfin ce sont des idées.